Un ancien Estacades impressionne déjà chez les Foreurs

LHJMQ. Benjamin Dion aura la chance de convaincre l’organisation des Foreurs que sa valeur réelle est supérieure à son statut de choix de 5e ronde.

L’attaquant de 16 ans, qui a percé l’alignement des Foreurs un an plus tôt que prévu, a été le choix de 5e ronde (78e au total) de l’équipe au dernier repêchage. Et il n’a pas tout «cassé» sur son passage lors de sa saison de joueur de 15 ans dans la Ligue midget AAA avec les Estacades de Trois-Rivières, récoltant 2 buts et 7 passes pour 9 points en 37 matchs.

«C’est à partir du Challenge Gatorade que j’ai commencé à jouer comme je suis capable de le faire», a mentionné Benjamin Dion.

L’attaquant a en effet été le 13e meilleur pointeur du Défi d’excellence Gatorade à la fin avril, à Boisbriand. Ce tournoi rassemblait six équipes des meilleurs joueurs de moins de 16 ans du Québec et des Maritimes, nés en 2001. Dion a également joué un match de moins (4), alors que la grande majorité des autres joueurs en ont joué 5 dans ce tournoi.

«J’y ai rencontré des dépisteurs des Foreurs et ils m’ont dit de continuer à jouer comme ça, a ajouté l’adolescent originaire de Gentilly sur la Rive-Sud de Trois-Rivières, qui a également obtenu 3 buts en 4 matchs au camp des recrues de la LHJMQ à Sherbrooke. Et c’est de cette façon que j’ai joué durant le camp d’entraînement aussi.»

L’attaquant de 6 pieds 1 pouce et 172 lbs se qualifie comme un joueur qui est capable de frapper et de donner des bonnes mises en échec. «J’ai un bon lancer, je suis capable d’apporter de l’attaque et de jouer dans ma zone aussi, a-t-il ajouté. Je dois améliorer mes sorties de zone ainsi que ma force d’accélération sur patin.»

Benjamin Dion considère également que c’est un privilège de pouvoir jouer dans la LHJMQ à l’âge de 16 ans. «C’est sûr que je remarque déjà la différence de calibre, les gars sont plus âgés et plus gros, a-t-il constaté. Mais je suis confiant et je ne me sens pas plus bas que les autres.»

L’attaquant de 16 ans, qui a percé l’alignement des Foreurs un an plus tôt que prévu, a été le choix de 5e ronde (78e au total) de l’équipe au dernier repêchage. Et il n’a pas tout «cassé» sur son passage lors de sa saison de joueur de 15 ans dans la Ligue midget AAA avec les Estacades de Trois-Rivières, récoltant 2 buts et 7 passes pour 9 points en 37 matchs.

«C’est à partir du Challenge Gatorade que j’ai commencé à jouer comme je suis capable de le faire», a mentionné Benjamin Dion.

L’attaquant a en effet été le 13e meilleur pointeur du Défi d’excellence Gatorade à la fin avril, à Boisbriand. Ce tournoi rassemblait six équipes des meilleurs joueurs de moins de 16 ans du Québec et des Maritimes, nés en 2001. Dion a également joué un match de moins (4), alors que la grande majorité des autres joueurs en ont joué 5 dans ce tournoi.

«J’y ai rencontré des dépisteurs des Foreurs et ils m’ont dit de continuer à jouer comme ça, a ajouté l’adolescent originaire de Gentilly sur la Rive-Sud de Trois-Rivières, qui a également obtenu 3 buts en 4 matchs au camp des recrues de la LHJMQ à Sherbrooke. Et c’est de cette façon que j’ai joué durant le camp d’entraînement aussi.»

L’attaquant de 6 pieds 1 pouce et 172 lbs se qualifie comme un joueur qui est capable de frapper et de donner des bonnes mises en échec. «J’ai un bon lancer, je suis capable d’apporter de l’attaque et de jouer dans ma zone aussi, a-t-il ajouté. Je dois améliorer mes sorties de zone ainsi que ma force d’accélération sur patin.»

Benjamin Dion considère également que c’est un privilège de pouvoir jouer dans la LHJMQ à l’âge de 16 ans. «C’est sûr que je remarque déjà la différence de calibre, les gars sont plus âgés et plus gros, a-t-il constaté. Mais je suis confiant et je ne me sens pas plus bas que les autres.»

Il entrevoit également très bien que les Foreurs auront une équipe très jeune cette année. «On  va être une équipe soudée et on veut aller chercher le plus de victoires possible», a-t-il dit.

Potentiel athlétique

Pascal Daoust, le directeur général hockey des Foreurs, a connu Benjamin Dion il y a plus de 2 ans lors d’entraînements estivaux. «On le voyait avec un plus grand potentiel qu’un choix de 5e ronde, a avoué Pascal Daoust. Il n’avait pas pris la pôle dans le midget AAA avec son équipe qui était très forte, mais il a confirmé la vision qu’on avait de lui aux combines (Challenge Gatorade).»

Le potentiel athlétique de Benjamin Dion était d’ailleurs déjà facilement détectable, selon Daoust. «Il patine avec une bonne vitesse et il a un bon lancer, a ajouté le directeur hockey. Il est allé chercher l’implication physique et la petite hargne additionnelle qui fait qu’on se démarque lors de camps d’entraînement.»

Val-d’Or

Benjamin Dion dit également bien s’acclimater à la ville de Val-d’Or, alors qu’il vit maintenant dans sa famille de pension. «C’est sûr que c’est un gros changement pour moi, c’est la première fois de ma vie que je viens en Abitibi, a-t-il raconté. Mais j’aime bien ça ici et je m’y adapte déjà. J’ai également une bonne chimie avec les vétérans et l’ensemble de mes coéquipiers.»