Le GP3R a-t-il trouvé sa recette gagnante ?

GP3R. En s’entendant à long terme avec trois importants championnats, le Grand Prix de Trois-Rivières croit bien avoir trouvé la bonne formule pour présenter son rendez-vous annuel des amateurs de sports mécaniques, du moins, pour les trois prochaines éditions.

Le succès de l’édition 2016, qui s’est amorcé avec le rallycross et s’est clôturé avec les activités entourant la fin de semaine du NASCAR, a convaincu le grand manitou de l’évènement de conserver la même formule.    

«Nous avons rencontré d’excellents résultats financiers et un succès populaire. On peut maintenant bâtir sur des bases solides. Au lieu de se concentrer sur la recette, on va pouvoir se focaliser davantage sur le service offert», a illustré un Dominic Fugère détendu, mais quelque peu exténué, après avoir négocié durant de nombreuses semaines pour obtenir ces ententes.  

La 47e édition n’était même pas encore terminé que son équipe lui ficelait déjà le 50e anniversaire du tout premier Grand Prix qui a eu lien en 1967. Le dernier contrat s’est conclu pas plus tard que la semaine dernière.   

L’organisation a finalement conclu des ententes de trois ans avec la Série NASCAR Pinty’s, le Championnat du monde de rallycross ainsi qu’avec le Championnat AMA SuperMoto. 

Le directeur général à bon espoir que ces signatures attirent davantage de pilotes québécois sur le tracé, notamment en rallycross. «Dorénavant, si un commanditaire a envie d’investir dans un Andrew Ranger, les frères Dumoulin ou même Alex Tagliani, il sait qu’il sera en piste pour au moins les trois prochaines années. L’investissement s’avère plus payant et ça ouvre des portes !», affirme Dominic Fugère. 

La 47e édition n’était même pas encore terminé que son équipe lui ficelait déjà le 50e anniversaire du tout premier Grand Prix qui a eu lien en 1967. Le dernier contrat s’est conclu pas plus tard que la semaine dernière.   

L’organisation a finalement conclu des ententes de trois ans avec la Série NASCAR Pinty’s, le Championnat du monde de rallycross ainsi qu’avec le Championnat AMA SuperMoto. 

Le directeur général à bon espoir que ces signatures attirent davantage de pilotes québécois sur le tracé, notamment en rallycross. «Dorénavant, si un commanditaire a envie d’investir dans un Andrew Ranger, les frères Dumoulin ou même Alex Tagliani, il sait qu’il sera en piste pour au moins les trois prochaines années. L’investissement s’avère plus payant et ça ouvre des portes !», affirme Dominic Fugère. 

Le saviez-vous ? 

Le Grand Prix, tenu pour la première fois en 1976, fêtera son 50e anniversaire en 2017. En revanche, sa 50e édition se tiendra en 2-19 en vertu de l’annulation des éditions de 1986, 1987 et 1988.