Limite de vitesse sur la rivière: Martin Francoeur s’engage à soutenir le dossier

Le candidat du Parti libéral dans la circonscription de Trois-Rivières, Martin Francoeur, a profité de l’ouverture officielle de son local électoral pour s’engager à accompagner la Ville de Trois-Rivières dans ses démarches auprès de Transport Canada pour mettre en place une limite de vitesse sur la rivière Saint-Maurice.

« La rivière Saint-Maurice est un joyau de la Mauricie qui devrait être accessible à tous, en tout temps. Je veux que tous les Trifluviens, incluant les familles avec de jeunes enfants, puissent profiter de leur rivière en toute sécurité », commente le candidat.

Celui-ci rappelle que la cohabitation entre plaisanciers et les utilisateurs d’embarcations motorisées est problématique depuis de plusieurs années. Avec la pandémie, de nombreuses familles ont décidé de passer leurs vacances dans la région, ce qui a eu pour effet d’exacerber cette problématique.

Deux éléments l’ont particulièrement marqué lors de la consultation virtuelle organisée par la Ville de Trois-Rivières à ce sujet à la mi-juillet: l’enjeu des vagues causées par la vitesse des embarcations à moteur ainsi que les marques d’incivilité et d’impolitesse émises à l’endroit des riverains par des utilisateurs de la rivière Saint-Maurice.

« Ça n’a pas sa place comme comportement. Lors de la consultation, 109 personnes ont affirmées ne pas se sentir en sécurité sur la rivière, tandis que seulement 30 disaient s’y sentir en sécurité. Il faut intervenir », affirme le candidat qui s’engage à ne pas s’ingérer dans les démarches entreprises par la Ville de Trois-Rivières dans sa demande de modification réglementaire pour limiter la vitesse des embarcations sur la rivière Saint-Maurice.

« Je veux être le porteur de ballon de ce dossier administratif. Je pourrai m’assurer que le dossier suit son cours, qu’il est sur le bon bureau au bon moment et qu’il chemine, précise-t-il. C’est un exemple de dossier municipal où le fédéral aura son mot à dire pour favoriser une saine cohabitation. »

D’ailleurs, M. Francoeur est allé à la rencontre d’un groupe de riverains mardi soir pour discuter du dossier.