Sauts en parachute pour soutenir les Grands Frères Grandes Soeurs

L’Association des Grands Frères et Grandes Sœurs de Trois-Rivières se «lance en l’air» le 31 août.

C’est que l’organisme invite la population, pour une troisième année, à faire un saut en parachute en tandem dans le but d’amasser des fonds pour pouvoir continuer à faire des jumelages Grands Frères/Sœurs et Petits Frères/Sœurs.

Il s’agit d’une troisième édition de l’activité qui s’avère populaire d’année en année, d’après Annie Lamothe, coordonnatrice de l’association.

«On voit des gens de tous les âges qui veulent sauter en parachute pour l’occasion, dont beaucoup de jeunes. On réussit généralement à attirer une trentaine de courageux participants. Cette année, on vise 40 personnes», précise-t-elle.

«C’est tellement le fun! Ça représente aussi beaucoup d’émotions! C’est beau de voir les gens vivre ça. On arrive généralement à attirer des jeunes comme des gens d’affaires», ajoute-t-elle.

Pour pouvoir effectuer un saut, les participants doivent amasser 330$ (taxes incluses). Ce prix inclut le saut en tandem à 12 000 pieds d’altitude, une minute de chute libre à une vitesse de 200 km/h, l’ouverture du parachute à 5000 pieds et une formation de 15 minutes avant le saut.

L’Association des Grands Frères et Grandes Sœurs de Trois-Rivières suggère différents modes de financement.

«Les participants pourront vendre des coupons au coût de 5$ afin de financer leur saut en parachute. Parmi les personnes qui auront acheté un de ces coupons, trois personnes, tirées au sort, pourront gagner un tour d’avion de 30 minutes cet automne en collaboration avec Nadeau Air Service. Le tirage se fera le 31 août, lors de l’événement», souligne Annie Lamothe.

«On lance aussi le défi aux entreprises de financer le saut à un employé ou encore de former une équipe de quatre pour pouvoir sauter en même temps», indique-t-elle.

Une épluchette de blé d’inde se déroulera sur place durant la journée.

Tous les détails de l’activité parachutisme au www.gfgstr.com/parachute.html.

Manque de petites filles

«Actuellement, on a beaucoup de Grandes Sœurs en attente d’être jumelées à une Petite Sœur. On a un grand besoin de petites filles âgées de 6 à 14 ans, issues de familles monoparentales ou reconstituées», mentionne Mme Lamothe.

Au cours des derniers mois, une quinzaine de jumelages entre Grands Frères et Petits Frères ont pu être effectués.