Une seconde carrière florissante pour Denys Diamond

Il n’y a pas d’âge pour plonger dans l’entrepreneuriat. À 56 ans, Denys Diamond profite de chaque moment pour promouvoir son entreprise FLOSA, un rêve qu’il caressait depuis un certain temps.

«Ça faisait 22 ans que j’étais dans le domaine de l’automobile lorsque j’ai vendu mes actions pour une sorte de pré-retraite. Auparavant, j’étais déjà un peu impliqué dans le secteur de l’immobilier et j’ai décidé de le développer davantage. De plus, je voulais également garder actif mon cercle social avec les gens que je côtoyais depuis plus de dix ans», indique M. Diamond.

Pendant que plusieurs peinent à trouver du temps pour mousser leur nouveau bébé, M. Diamond nage comme un poisson dans l’eau dans son rôle d’entrepreneur.

«Pour moi, le domaine de l’immobilier, c’est des vacances comparativement à mon ancienne vie. Dans l’automobile, c’était des journées de 8 h à 22 h. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Par contre, on ne peut pas rester là à ne rien faire en espérant que ça fonctionne. Il faut être visionnaire, travaillant et motivé», mentionne-t-il.

Un exemple à suivre

La passion de l’entrepreneuriat est bien vivante au sein de la famille Diamond. Père de quatre enfants, M. Diamond transmet son savoir-faire à sa progéniture.

«Les deux plus vieux ont acheté des immeubles à logements il n’y a pas si longtemps. Je les encourage à aller dans cette voie», confie-t-il.

Pour le babyboomer, il est clair que le facteur âge est non négligeable lorsqu’on se lance en affaires.

«C’est plus facile, car l’expérience aide à voir les bonnes occasions», conclut-il.

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