Rétrospective 2014 | On ne s’ennuie pas à l’UQTR

RÉTROSPECTIVE.Les situations compliquées ont continué à se multiplier à l’Université du Québec à Trois-Rivières en 2014. L’institution a notamment dû composer, encore cette année, avec des dissensions au sein de son conseil d’administration, querelles qui ont presque mené à l’exclusion de la rectrice, Nadia Ghazzali.

On apprenait à la fin de l’année que la rectrice nommée depuis deux ans était passée à un cheveu de la porte, sur recommandation du comité d’éthique et de déontologie qui proposait alors sa destitution.

À la fin de l’année également, le président du Syndicat des professeurs, Pierre Baillargeon, a plié bagages, laissant l’organisation sans capitaine.

Ajoutez à cela l’annonce quelque peu tardive du campus à Drummondville, après plusieurs mois de tergiversations, l’incertitude entourant l’avenir du Centre intégré en pâtes et papiers et, bien sûr, la volonté de l’UQTR d’implanter un colisée sur ses terrains, en compétition directe avec le District 55. En décembre d’ailleurs, un dirigeant de l’UQTR affirmait que le dossier de colisée n’était pas clos, mais sur pause, ce qui fait craindre le pire pour l’avenir.

Dans les derniers jours de l’année, l’ancienne députée de Trois-Rivières, Danielle St-Amand était nommée directrice du Service du développement institutionnel.