Dominic Fugère dresse un bilan positif de la 48e édition
BILAN. Après cinq longues journées de courses, réparties sur deux week-ends, l’heure était au bilan pour le directeur général du Grand Prix de Trois-Rivières, Dominic Fugère.
Il a d’abord commenté ce qu’il a vu en piste, et hors-piste.
«On est content! Regardez aujourd’hui, les gradins étaient pleins. Nous sommes très heureux de la présence des Prototype également. On avait 18 voitures en piste, réparties sur quelques classes, et on a travaillé fort pour les avoir.»
«Nous avons eu une bonne course de NASCAR. Alex (Tagliani) était rapide et il était dû pour gagner. On est content du podium de Marc-Antoine Camirand également. Pour Andrew (Ranger), je crois qu’il s’agit d’une cinquième fois consécutive en deuxième position, alors ça doit commencer à le tanner un peu.»
Il est également revenu sur les averses qui se sont invitées aux activités du Grand Prix.
«Je dis le toujours, c’est ça la météo en août! Regardez ce qui est annoncé, et ce sera différent une heure plus tard. Vous savez que je suis un joueur de poker. Cette fois, nous étions négligés à 90% contre 10%, mais nous avons gagné ce week-end.»
«Pour ce qui est du week-end de Rallycross, nous aurions peut-être pu être mieux préparés. On avait de nouvelles loges et on ne pouvait pas savoir que l’eau allait s’y introduire. Disons qu’on l’a su assez rapidement! Mais d’un autre côté, c’est difficile de se préparer contre la pluie et c’est tellement facile pour nous quand il fait beau dehors.»
Le directeur général a également commenté la subvention de 600 000$ (sur trois ans) annoncée par François-Philippe Champagne, député de Saint-Maurice/Champlain, avant la course reine.
«C’est une subvention de 200 000$ qui se poursuit finalement et nous en sommes très fiers. Ça nous assure trois autres années, incluant la 50e édition du Grand Prix. Ça nous permet également de continuer à planifier d’avance.»
«Nous avons de plus en plus de visées à l’international et ça va nous servir, non pas qu’à mousser le Grand Prix, mais à continuer d’aller chercher des appuis. Maintenant, nous en sommes à 90% de préparation pour 2018 et à 10% pour le démontage du site et la réédition des comptes. Et avec les appuis des deux gouvernements, en plus de la Ville de Trois-Rivières, on peut continuer notre préparation», conclut-il.