Des habitudes de vie qui nuisent à la procréation

FERTILITÉ. Une étudiante à la maîtrise à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) s’intéresse à la relation qui existe entre la fertilité et les habitudes de vie.

Claudine Blanchet, étudiante à la maîtrise en sciences de l’activité physique, est à la recherche de femmes et d’hommes pour réaliser une étude qui vise à évaluer les connaissances sur la fertilité, le profil de santé reproductive et l’intention envers le changement de comportements de santé.  

«Certaines personnes ne savent pas que les mauvaises habitudes de vie comme le tabagisme, la mauvaise alimentation et la consommation d’alcool peuvent avoir un impact sur la fertilité. Par contre, est-ce que les gens qui le savent vont vraiment changer leurs habitudes de vie? C’est la question qui est posée dans le cadre cette étude», explique Stéphanie-May Ruchat, professeure au Département des sciences de l’activité physique et superviseure de la recherche.

Les participants à l’étude auront à répondre à un sondage électronique portant sur les connaissances en matière de fertilité ainsi que le profil de santé reproductive. Les participants doivent être âgés entre 18 et 45 ans pour les femmes et entre 18 et 50 ans pour les hommes. Les participants doivent être hétérosexuels, conjoints de fait ou mariés et doivent essayer de concevoir un enfant depuis un minimum de 3 mois. 

Pour participer à la recherche, communiquez avec Claudine Blanchet à l’adresse suivante : claudine.blanchet@uqtr.ca

Véronique Babineau de la clinique de fertilité du CHAUR de Trois-Rivières, Magali Brousseau-Foley de l’UMF de Trois-Rivières et Jacky Boivin de l’Université de Cardiff collaborent également au projet.