Un Thaï Zone s’installera au District 55

L’entrepreneur Patrick Duchesneau, qui est propriétaire de la succursale Thaï Zone du secteur de Cap-de-la-Madeleine, a annoncé qu’une deuxième franchise allait voir le jour dans le District 55.

Patrick Duchesneau en est à sa sixième année à titre de propriétaire du restaurant au Cap-de-la-Madeleine, et le 1er avril dernier, il a racheté les parts de ses associés si bien qu’il est l’unique propriétaire depuis ce temps.

Un deuxième restaurant Thaï Zone ouvrira au printemps prochain, à seulement 45 secondes de marche du nouveau Colisée de Trois-Rivières.

« Les gens qui me connaissent depuis ma tendre enfance savent que je suis un entrepreneur dans l’âme, exprime Patrick Duchesneau. Je voulais avoir un commerce pignon sur rue pour vendre un produit dans lequel je crois. Avant d’acheter le Thaï Zone, j’ai rencontré une vingtaine d’entreprises à vendre autant à Trois-Rivières que Québec. Je demeurais à Québec à l’époque, et ma conjointe et moi on s’est dit pourquoi pas revenir dans notre belle Mauricie pour fonder notre famille. »

Le développement de la marque Thaï Zone est un grand terrain de jeu pour l’entrepreneur qui est très actif pour créer divers partenariats. D’ailleurs, lors du dernier congrès des 40 franchisés de la chaîne de restauration, Patrick Duchesneau a été récompensé en recevant le prix de la succursale la plus active en marketing au Québec.

Le franchisé croyait au potentiel de développement de la livraison depuis le début, mais il ne pouvait couvrir tout le territoire trifluvien à partir du Cap-de-la-Madeleine. « J’ai été l’un des premiers à signer un bail dans le nouveau développement du District 55 à l’époque. La pandémie a beaucoup retardé le projet. C’était censé ouvrir en 2020. Je crois beaucoup au quartier de Pointe-du-Lac, il n’y a rien en livraison outre que poulet, poutine et pizza. Je sais que sur le long terme, on aura beaucoup de portes. Je vais même évaluer le territoire pour aller sur la Rive-Sud, je peux aussi aller à Saint-Étienne-des-Grès. »

Si la pandémie a retardé le projet, elle a pu consolider le fait que les commandes pour emporter et les livraisons ont la cote.